Cachée en haut d\'un arbre (cherchée par David)

David sourit à Irisa et passa son bras autour de ses épaules, il hésita un instant et laissa son bras. Quand le soleil commencera à décliner à l'horizon il sera l'heure de rentrer mais pour l'instant il profitait de la présence de la jeune fille.
Après avoir regarder Irisa il lui demanda:

- Avez vous des rêves que vous voudriez réaliser?

Elle se laissa aller contre lui, poussa un soupir d'aise. Il lui demanda ses rêve. Elle leva la tête et regarda les nuages.

Je veux voyager ... à vos côtés ...

David serra Irisa contre lui et pensa à se qu'il avait décider en arrivant.
Il s'était dit que jamais il ne quitterais encore l'Angleterre et voilà qu'il était près à tout abandonner pour une jeune fille, il se pensait envoûter par Irisa. il fit tourner l'idée dans sa tète et souriant le dit à la jeune fille:

- vous avez du m'envoûter, ou auriez vous mis quelque chose dans l'onguent?
parce que je suis près à vous emmener où vous voudrez quand nous serons sorti de cette école.

Irisa le regarda et lui dit très sincèrement.

Cela ne m'intéresse pas de vous envouter. Très sincèrement, je préfère vous avoir avec tout votre coeur. votre carcasse vide ne m'intéresserait pas.

Elle lui caressa la joue.

David fut toucher par les paroles de Irisa et il en resta sans voix.
Quand elle lui caressa la joue, il en ferma les yeux et une image de paix s'inscrivit dans son esprit.
Quand il rouvrit les yeux, il lui dit:

- je suis sure que vous dite vrai, en plus je serais un piètre compagnon si je n'avais pas de coeur.

Soudain il sentit la température baisser, il regarda le ciel et vit une masse sombre qui doucement grignotait le soleil, il regarda la jeune fille et il lui dit:

-Voyez comme les ténèbres entour la lumière. Est ce un signe?

David avait entendu parler de ce phénomène qui effrayait les gens, mais David n'en avait jamais vu et fut très impressionner même effrayer par le spectacle.

Elle mit sa main en visière devant ses yeux et observa attentivement le phénomène naturel et rarissime qui se produisait sous leurs yeux.

On m'en a parlé, je n'en ai jamais vu ... David ... qu'est-ce qui se passe ? Est-ce bien la lune qui passe devant le soleil ?

David était tellement prit par le spectacle dans le ciel qu'il entendit à peine Irisa, mais il lui répondit quand même:

- je ne sais pas, quand les personnes agées me parlaient d'un phénomène semblable, ils me disaient qu'il s'agissait d'un vouloir de dieu, mais je n'es jamais compris ce que cela voulait dire.

- Dieu ...

La mention de cette entité laissa Irisa songeuse. Existait-il un être au dessus de toute loi, qui avait créé le monde, tout comme Rowena Serdaigle, Helga Poufsouffle, Godric Gryffondor et Salazar Serpentard avaient fondé cette école ? Cela l'intriguait.
Sur le continent, on voyait naître des grandes églises, la maison de dieu. Ces gens n'aimaient pas les sorciers et les chassaient pour les punir.
Sur l'île d'Irisa, on était encore païen, animiste. Irisa portait le triskell qui témoignait de sa foi en l'eau, le feu et la terre. Elle l'avait donné à Ettant le jour de leur arrivée à Poudlard.

De par son origine de sorcière, Irisa ne pouvait tout simplement pas croire en Dieu.

- Je ne sais pas David ... d'où vient ce phénomène. Les éléments célèbrent-ils ce jour en nous montrant ce phénomène ? Le jour où Irisa O'Cannagan rencontra David Night ...

Au moment où la lune recouvra entièrement le soleil, David détourna le regard vers la jeune fille et se demanda en lui même si le soleil réapparaîtrait un jour.
Cela ne dura que quelques seconde et ensuite l'astre rayonnant repris peut à peu sa place dans le ciel.
David repris espoir et dit:

-Ce serait bien un jour à marquer d'un pierre blanche, et je serais près à croire que les astres on décidé de nous aider dans notre aventure futur.

David pris la main d' Irisa dans la sienne et regarda le visage qui faisait battre son coeur.

Irisa regarda le visage de son ami et lui fît un sourire confiant. Il avait une façon tellement poétique de parler de la nature qu'il pourrait séduire n'importe-quelle jeune fille. Mais la séduction et la flèche de Cupidon ne se rejoignent point, David n'avait pas eu Irisa avec des mots, mais avec son cœur.

- Je suis prête à le croire aussi.
Comme si cette nuit improvisée nous laissait une intimité anticipée ...

Elle s'appuya contre lui tout en continuant à regarder le phénomène.

David apprécia le fait que Irisa soit contre lui, il ne parla pas et regarda la lune laisser le soleil rayonner à nouveau.
Le jeune homme ne pensa plus à rien et savoura le moment présent en oubliant pour un moment tous ce qui était autour.
Autour d'eux même les oiseaux avaient arrêter de chanter.
Une crampe le fit grimacer, il avait oublier sa cheville blesser, malgrè lui il dut rompre ce moment charment pour éviter un engourdissement de sa cheville:

-Je suis bien mais il faut que je me lève, permettez moi de vous enlever.

Il souleva sans effort la jeune fille dans ses bras avant qu'elle est eu le temps de comprendre et se leva puis il s'adossa au tronc et demanda avec le sourire:

-Cela vous gène t il si je vous garde dans mes bras un moment?

Elle regardait la lune disparaitre et redonner sa place originelle au soleil dans le ciel, fascinée par le phénomène auquel elle n'avait encore jamais assisté, elle en avait seulement entendu parler. Mais maintenant c'était chose faite ...
David voulait se relever, elle l'y aida pour ne pas qu'il se refasse mal au pied.

- Ne reprends pas appui dessus tout de suite, attention, ne te fait pas mal ! Lui conseilla t-elle. Pour toute réponse à sa question, elle se lova dans ses bras. Le silence est d'or, et entre ces deux-là passaient par le silence bien plus de choses et de sentiments que les mots ne pourraient traduire. Parfois il suffisait d'un geste, d'un regard ...

David était heureux d'être avec Irisa, aucun mots, aucun geste n'aurait pu trahir ses sentiments.
Il remarqua que la jeune fille l'avait tutoyer ce qui lui fit comprendre qu'un stade avait été franchi, alors il rompit le silence bienveillant pour dire:

- Je suis honoré de votre bienveillance et je me permet de vous demander l'autorisation de vous tutoyer?

David n'avait jamais beaucoup suivit les convenance, mais pour Irisa ce n'était pas pareille il ne voulais pas la blesser et encore moins avoir à subir les foudres de son frère si il la tutoyait sans le consentement de la demoiselle.

HJ : Pas fait exprès ! xD

Irisa lui fît un sourire confiant, elle n'attendait que ça. Elle avait fait un gros effort pour braver les convenances et enfreindre les règles de politesse. Cependant, ils étaient si proches que cela paraissait normal. Irisa tutoyait son frère, alors pourquoi ne pas tutoyer son âme sœur ? Elle hocha la tête d'un sourire complice, mais émit quand même quelques réserves.

- Cependant vouvoyons-nous quand nous sommes en public, et ne nous tenons pas trop près l'un de l'autre.

Plusieurs personnes savaient que David n'était pas promis à Irisa ... et à moins qu'Ettan n'ai parlé, Irisa n'était pas destinée à David. Elle avait peur du qu'en dira t-on ...

David comprit pourquoi Irisa ne voulait pas qu'ils se tutoie en public, alors il lui accorda par un sourire ses réclamations:

-Je t'accorde que cela ne serait pas tolérer en public.

Il pensait à Etan qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de côtoyer, et qui apparemment était très protecteur pour sa soeur.
David resta un moment avec la jeune fille dans ses bras, le soleil avait retrouver sa place dans le ciel et les oiseaux avait repris leur chants, tout était redevenue normal et le jeune homme s'aperçut que son estomac était vide.
Il tenta de faire taire sa faim pour rester encore près de la jeune fille qui avait emprisonner son coeur.

Irisa sourit lorsqu'elle constata qu'il partageait les même craintes qu'elle. Ils étaient de toutes façons tous les deux en position délicate, et il leur faudrait cacher un moment leur jeu avant de se déclarer au grand jour.

- Bien.

Elle se laissa aller contre lui, il la serrait fort dans ses bras, elle appréciait ce sentiment de sécurité que lui procurait la proximité du jeune homme.

Bien plus heureux qu'il ne l'avait été depuis bien longtemps, David restait sans bouger à serrer contre lui une jeune fille merveilleuse.
Il parti soudain dans ses pensées et il se revit en France entrain de nettoyer la cale d'une coque de noix, comme l'appelait les pécheurs,qui venait de revenir de mer.
Le travail était dur et l'odeur infecte mais pour le bien de son père, il aurait fait n'importe quoi a ce moment là il aurait été près à donner sa vie si son père aurais moins souffert de la situation mais aujourd'hui il se disait qu'il pouvait laisser son père et passer son courage vers Irisa pour lui donner tous le confort et la protection dont elle avait besoin.
Sans s'en apercevoir il dit à haute voix se qu'il pensait tout bas:

-Je te protègerais, et je donnerais ma vie pour toi.

Irisa se laissa bercer par David, le bruissement du vent dans les feuilles et les murmures des prémices de la forêt. Tout était si parfait en cet instant, quand il lui dit qu'il serait prè à donner sa vie pour elle. Tout ce dont une jeune femme rêvait, cependant, Irisa n'était pas une jeune femme ordinaire. Ca se saurait.

Elle passa sa main sur sa joue.

- Non, parce-que si jamais tu disparais, je ne suis rien, et l'envie de vivre se perdra. Protège-toi, et tu me protègeras, moi aussi ... Promets le moi David !

Ces paroles avait remué des émotions en elle, elle ne pourrait imaginer ce que serait sa vie sans lui et avait peur de le perdre.

David fut secoué par les paroles de Irisa, c'était la première fois que quelqu'un lui avouait avoir besoin de lui, d'ordinaire quand ses proches lui disait que c'était le destin qui décidait et non les êtres, alors il repartait dans ses arbres ou allait voir la mer.
Il regarda la jeune fille dans les yeux et prononça des mots qui n'était jamais sorti de sa bouche:

-Je te promets de prendre soin de moi autant que de toi pour qu'a jamais nous restions ensemble.

Puis il s'inclina et déposa un baiser sur les lèvres d'Irisa comme pour seller ses paroles.

Irisa inscrivit profondément ces paroles au fond de son cœur et de sa tête pour qu'à jamais elles restent gravées. Elle aimait tellement David ... elle aimait aussi Ettan, comme une sœur aime son frère, rien de plus, rien de moins, mais quand bien même elle imaginerait quitter son île, elle n'imaginait pas ne pas faire sa vie avec David Night, même si ils étaient obligés de se cacher.

- Je n'en attends pas moins de vous ... Lui confia t-elle.

David sourit à Irisa et regarda le soleil descendre à l'horizon, son estomac lui rappella qu'il n'avait pas encore manger alors il regarda la jeune fille et lui demanda:

-Aurais tu une opposition au fait que nous rentrions au château?, la nuit commence à tomber et l'heure du repas du soir approche.

La cheville du jeune homme était beaucoup moins douloureuse grâce à l'onguent de Irisa et il pourrais marcher avec précaution mais sans appui.

Irisa se sépara de lui, à regret bien sûr. Elle était si bien, au chaud dans ses bras, mais le vent froid la frappa quand elle s'éloigna de lui. Elle serra ses bras autour d'elle pour avoir réconfort et chaleur. Elle n'avait rien contre le fait de rentrer, mais se dit qu'il valait mieux qu'on ne les voit pas ensemble.

- Tu as raison ... cela va sembler bizarre qu'on ai disparut tout les deux si longtemps, le mieux est de ne pas rentrer ensemble. Je vais faire le tour du château et rentrer par la porte qui donne sur les jardins, quand à toi il vaut mieux que tu passes par l'entrée principale.

Elle n'apprêta à partir mais son cœur lui faisait bien mal.

David ... retrouvons-nous ici un autre jour ... tu es d'accord ?

Quand Irisa s'éloigna, David senti du froid lui transpercer le coeur, il regrettait déjà leurs séparation mais était d'accord sur le fait qu'il devait rentrer séparément au château.
Quand elle lui proposa de se retrouver un autre jour, il en fut si content qu'il la repris dans ses bras et lui dit:

-J'en serrais très heureux, mais je voudrais que tu m'accorde une dernière chose avant de nous séparer.

Avant que la jeune fille ne lui accorde quoi que ce fut, il l'embrassa.
Quand enfin il lâcha ses lèvres, il se détacha aussi de son corps et commença à s'en aller en direction de l'entrée principale en disant:

- Je reviendrais demain et les autres jours au même endroit, et je vous y attendrais dans l'espoir de vous revoir.

Elle affichait sans retenue un énorme sourire sur son visage. Ses sentiments seront difficiles à cacher et elle le savait, mais le risque en valait la peine.

- N'ayez crainte ! Je serais là !

Elle attendit qu'il fût un peu plus loin avant de prendre la direction opposée à celle prise par David et fît le tour par les serres de Helga Poufsouffle, et rentra au château par une petite porte faite de bois massif. De là, elle rejoignit mine de rien les autres élèves du château au repas du soir, prenant conscience que pour une fois, elle tenait sa vie en main.

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