Cachée en haut d\'un arbre (cherchée par David)

David remercia la jeune fille et lui avoua:

-Je serais enchanter d'utiliser votre plantes mais je suis bien incapable de m'en servir.

Puis ressentant une forte douleur il sera les dents et attendit que cela s'apaise, mais ne tenant plus il regarda la jeune fille et lui demanda:

-Auriez vous l'amabilité de m'aider?

Elle hocha la tête et egrenna la plante en en pressant les grains pour en faire sortir un liquide. Elle sortit une petite boîte en bois qui renfermait une sorte de pâte beige et en mélangea le liquide jusqu'à ce que la pâte devienne uniforme et lui tendit.

David regarda Irisa faire puis il ôta sa chaussure doucement pour ne pas raviver la douleur et remonta son pantalon.
Quand La jeune fille lui tendit sa baume il l'a prit et lui dit:

-Je vous remercie beaucoup.

David regarda sa cheville qui était d'une drôle de couleur et enflée, il lui fallut beaucoup de courage pour réussir à enlever sa chaussette et appliquer maladroitement l'onguent d'irisa.

Irisa le regarda faire. Elle avait du mal à se retenir mais finalement trempa ses mains dans l'onguent et s'agenouilla devant lui.

Non pas comme ça ... c'est votre muscle qui a pris tout le choc. Si vous appuyez comme ça vous allez vraiment vous faire très mal et compliquer votre blessure. Il faut masser de haut en bas.

Avec ses mains de guérisseuse elle massa délicatement sa jambe blessée. Ses gestes étaient sûrs et elle regardait la blessure avec expertise.

Elle referma la boîte en bois et la lui rendit, en essuyant ses mains sur une grande feuille d'arbre. Les arbres géants de Poudlard se dressaient tout autour d'eux et leur offrait ombre et fraîcheur, mais pouvaient se montrer vicieux avec qui tente de les défier. C'était un peu comme si ils étaient vivants et cherchaient à préserver leur intégrité.

Ca devrait aller ... mais faîtes bien attention, ne brusquez pas trop pendant quelques jours et ça dégonflera tout seul !

David s'écarta en voyant Irisa s'agenouiller et commencer à lui masser la cheville.
Il voulut protester mais les mains experte et douce de la jeune fille lui ôtait toute envie de dire quoi que se soit. Au bout d'un moment, il ne voyait que le visage concentrer de la jeune fille, une envie soudaine de lui caresser la joue et de détendre les trait sévère l'effleura.
quand il voulut tendre la main Irisa se redressa et lui conseillait de faire attention, Mais n'ayant pas entendu le reste de ses explications, il ne pouvait que penser qu'elle parlait de sa cheville.

-Je vous suis très reconnaissant, et je suivrais vos conseils. vous êtes vraiment très douée, je ne sens plus du tout la douleur.
Comment pourrais je vous dédommager?

Irisa dodelina.

Mais non enfin ... je ne vous demande rien. J'ai toujours fait ça, toute ma vie ... pour rien, je ne vais pas commencer maintenant.
Tout ce que vous pouvez faire c'est bien appliquer ce baume le temps que je vous le demande et ménager votre pied, vous voir rétabli serait pour moi la meilleure des récompenses.

Mais elle vit qu'il avait l'air gêné.

Pardon ... ai-je dit quelque-chose qu'il ne fallait pas ?

David se sentit gêné d'avoir offenser la jeune fille et quand elle lui demanda si elle avait dit quelque chose qui ne fallait pas, il lui dit:

-Non vous n'avez rien dit c'est moi qui m'excuse de vous avoir offenser. Je crois que j'ai eu des paroles malheureuses. Pourrez vous me pardonner

Il voulut se lever mais sa cheville le fit vaciller alors il s'appuya contre le tronc d'arbre qui était juste à coté.

Irisa leva les yeux au ciel.

Mais oui !

Elle grimaça quand il essaya de se relever, mais la douleur le rappela à l'ordre, ce qui n'était pas plus mal en soit, au moins, ça l'obligerait à se ménager.

Moi, je peux tout vous pardonner.

Et c'était vrai. Irisa était prête à tout pour lui, elle pourrait même sacrifier sa vie sur son île. Elle lui décrocherait la lune si il la lui demandait, le suivrait où qu'il aille, au bout du monde si il le fallait.

David fut soulager par l'approbation de Irisa mais il se demandait comment il allait pouvoir regagner le chateau avec une cheville dans cet état, bien qu'il soit en très bonne compagnie et qu'il n'es pas envie de bouger.
Un moment, il se demanda si ce n'était pas le manque d'amour maternelle qui le faisait se sentir si bien avec la jeune fille, mais dans son fort intérieur il savait que ce n'était pas la même chose.
En un instant, il tendit la main vers Irisa et lui demanda:

-Accepteriez vous de venir près de moi? s'il vous plaît

Elle fût un peu déroutée par la proposition, mais glissa sa main, aux doigts longs et fin dans la sienne et vint s'appuyer contre l'arbre à ses côtés, essayant de ne pas trop se rapprocher, de peur de le gêner et qu'il ne la repousse, mais elle était aux anges, et son coeur battait la chamade.

Étrangement le fait de sentir Irisa si prêt de lui, lui fit battre le coeur plus fort. Il crut un instant que même la jeune fille allait pouvoir l'entendre.
Il resta un moment sans rien dire savourant la présence si féminine.
Puis ne sachant pourquoi il appuya son dos contre l'arbre et attira la jeune fille dans ses bras.

Elle se laissa prendre dans ses bras, surprise sans vraiment l'être tant elle l'avait cherché.
Quand Irisa voulait quelque-chose elle faisait tout pour l'avoir, et David elle le voulait, et elle s'était employée à le séduire avec toute la sincérité que ses sentiments lui permettaient.
Elle referma aussi ses bras autour de lui.

Blotti contre Irisa, David ne s'inquiétait plus de rien. Un bien être l'avait envahie et il aurait souhaiter que cet instant dure éternellement.
Inconsciemment il baisa la tète et déposa un baisser sur les cheveux de la jeune fille, ses cheveux sentait terriblement bon et il ne put s'empêcher de lui dire:

-Vous sentez merveilleusement bon.

Irisa le laissa l'embrasser sur ses cheveux et savoura ces mots.

Merci. je les lave avec des huiles essentielles que je fais ! Ca lui prenait du temps de bidouiller ses plantes, mais c'était sa passion. Elle les préparait de 1001 façons, de la simple eau de toilette à la teinture la plus compliquée.

Elle posa sa tête dans le creux de son épaule.

Je suis si bien, blottie contre vous, que je ne peux m'empêcher de sourire. Je ne peux ne pas sourire quand je suis avec vous David ... C'est une vérité indéniable.

Elle s'écarta.

Et si je ne peux être votre promise, je serai toujours votre amie !

Et elle planta ses yeux aux couleurs de l'arc-en-ciel dans les siens.

Mais en attendant je vous aime.
Et j'ai envie de goûter vos lèvres encore une fois.
C'est plus fort que moi, comprenez-le ...

Elle avait conscience d'être quelque-peu cavalière.

Si vous ne le voulez pas ... repoussez-moi. Mais si vous me tenez dans vos bas une minute de plus, je ne réponds de rien.

Elle voyait qu'il était interloqué et ajouta.

Je ne vous aime pas comme une princesse que son prince vient sauver ... ou comme une jeune fille que l'on marie à un prétendant.
Je vous aime parce-que j'aime votre allure, vos voyages, vos idées ... je vous aime parce-que je suis Irisa O'Cannagan, et parce-que vous êtes David Night.

Et ne répondant plus de rien, elle commença à approcher ses lèvres des siennes.

David écouta Irisa sans l'interrompre, il aimait cette façon cavalière que la jeune fille avait de dire ce qu'elle pensait.
Il voulut lui dire que même si les projets de son père était toujours d'actualité il refuserais, mais Irisa lui avouait l'aimer comme il était.
Quand elle approcha son visage du sien, il ne put l'arrêter car ses lèvres avait l'air si douce qu'il avait envie d'y goûter alors il approcha son visage du sien et leurs lèvres se sont scellées en un baiser doux et puritain.
David libéra Irisa à contre coeur mais il fallait qu'il lui parle, il la regarda dans les yeux et lui dit:

-Je ne pourrais jamais avoir quelqu'un d'autre que vous dans mon coeur, vous êtes une jeune fille sincère et généreuse.

Irisa souria, parce-qu'enfin elle avait entendu ce qu'elle voulait entendre, ne soupçonnant rien d'autre. Mais elle ne trouvait rien à dire, et appuya sa joue contre la sienne et collant tout son corps contre le sien, le coeur battant à tout rompre, et souriant comme elle n'avait jamais sourit.

David était heureux, il n'avait jamais resenti une chose pareille pour quelqu'un mais il ne pouvait pas encore être sur que c'était de l'amour.
Il s'abstint de prononcé les paroles qui au fil des jours pourrait être faux, il ne voulait en aucun cas faire souffrir Irisa en lui donnant de faux espoirs.
Mais il était sur de ne jamais pouvoir resentir les même émotions avec une autres fille.
Tellement à son bonheur qu'il en oubliait tout et par mégarde il s'appuya sur sa cheville qu'il le rappela à l'ordre la douleur fut telle qu'il sera sans le vouloir la jeune fille encore plus fort, et un son rauque sorti de sa bouche.

Sarah avait été rejoindre David au lieu de rendez vous mais il n'y était pas elle l'avait vu sortir du château en compagnie d'une jeune fille de Griffondor, alors elle était aller seule à la bibliothèque en maudissant son étourderie.
Après un moment à ressasser son manque de ponctualité, elle avait décider de faire des excuses à son ami.
Elle l'avait chercher pendant un moment dans les jardins puis s'était diriger vers la plaine des arbres.
En contournant un arbre, elle vit deux silhouette près l'une de l'autre et s'était approcher.
En voyant de qui ils s'agissait, elle eu comme une pointe au coeur, David tenait dans ses bras la jeune fille de Griffondor, ils avait l'air si heureux ensemble que Sarah en eu encore plus mal. Les larmes commençait à couler de ses yeux, elle vit volte face et rentra au château en courant. Ses pensées et ses rêves depuis qu'elle l'avait revue s'écroulait, elle se mit à haïr David pour ça et se rua dans le seule endroit où elle était sur de ne voir personne, la bibliothèque.

Irisa se raidit. Elle avait entendu un bruit, et ne tenait pas à ce qu'on les surprenne. En ces temps, ça lui attirerait des ennuis, à elle et à lui aussi. Il n'était jamais bien vu de se montrer de la sorte avec quelqu'un.
Mais il semblait que c'était trop tard, car la dénommée Sarah Goyle courrait déjà à travers la plaine des Grands Arbres. Mais elle s'écarta de lui quand même.

David .. c'était Mademoiselle Goyle ...

Elle se mordit la lèvre.

David tourna la tète dans la direction indiquer par Irisa et reconnut la silhouette si familière de sarah, il eut un moment de panique et dit:

-Non, c'est pas vrai. Je dois aller lui parler.

Puis regardant Irisa, il eut envie de laisser Sarah tranquille, mais qu'est ce que la jeune fille avait pu se mettre en tète pour se sauver ainsi.
Il resenti la douleur de sa cheville, et s'assit par terre en disant:

- Je crois que je lui parlerais plus tard.

Elle avait peur de comprendre quelque-chose.

David ... est-ce que par hasard Mademoiselle Goyle et vous vous ...

David regarda Irisa, en entendant sa question, il était devenu rouge. Avec quelques hésitation il lui répondit:

-Sarah Goyle et moi nous connaissons depuis la petite enfance et les projet de mes parents la concernait. Ensuite nous avons été obligé de nous exiler et je ne l'ai revue qu'ici lors de la répartition.
Je ne pensais même pas qu'elle puisse être une sorcière, mais cela ne change rien à se que je ressens.

David ayant été élever comme un enfant sans parenté magique, il ne pensait pas que son amie pouvait avoir une famille de sorcier.

Cela dissipa toute l'inquiétude d'Irisa.

D'accord ! Dit-elle avec un sourire comme si ça avait une évidence indéniable. Elle s'assit contre l'arbre à côté de lui, chassant l'incident de sa tête.

David ne fut pas certain qu'Irisa comprenait l'amitié qu'il avait pour Sarah mais il ne lui posa pas la question il était si bien en sa compagnie qu'il ne voulait pas créer de quiproquo inutile.
Quand elle s'assit près de lui il lui prit la main sans rien dire.
Au bout d'un moment, il lui demanda:

-Vous n'avez pas froid, j'espère?

Le soleil s'était cacher derrière des nuages et les températures était plutot fraîche, mais David n'en avait pas conscience ayant été habituer au températures basse.

Irisa était habituée à vivre dans les conditions extrèmes de la météo de son île, les tempêtes, elle en avait souvent vécu, alors elle vivait plutôt bien le climat de Poudlard.

Non, moi ça va !

Elle avait dit cela en souriant et tout ce qu'elle désirait c'était rester avec lui pour le moment, jusqu'à la tombée de la nuit, où là ils seraient pbligés de se séparer.

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